Une féminisation sans queue ni tête...

Publié le par Nouvelle Droite Populaire section de Forbach

4026535590.jpgLe billet de Patrick Parment

Je fais mienne cette sentence de Sacha Guitry : « Je suis contre les femmes, tout contre. » Il n’empêche, la féminisation à outrance réveille en moi une misogynie latente. Et pour donner dans le vocable du jour, je dirai que « les meufs comme les pèdes commencent à me les briser menu ! » Explications.

Les revendications homosexuelles qui sont passées en quelques décennies de l’ombre à la lumière, dénotent de la déliquescence d’une société qui est en train de faire sauter toutes ses normes sociétales. On oublie que notre civilisation (enfin ce qu’il en reste) s’est bâtie sur le travail, la rigueur et la probité ! Jamais sur le laxisme de la morale et des mœurs.

Je n’ai rien contre les homosexuels dès lors que ça ne dépasse pas la sphère privée. Je suis contre toute chasse ou discrimination au motif d’homosexualité. Je suis contre toute manifestation intempestive (genre Gay pride) pour la bonne raison qu’une société ne peut ériger l’homosexualité en norme sociale. Raison pour laquelle je suis également opposé à toute possibilité d’adoption. Voici pour le côté faussement masculin.

Côté féminin, on n’est pas mieux loti. Et, il ne s’agit pas ici des « Chiennes de garde », très peu chiennes et encore moins de garde. Non, il faut entendre par là la fameuse parité qu’on veut appliquer au forceps à tous les champs du social et qui relève de l’ineptie (*). Vouloir imposer des quotas – ou faire de l’esbroufe avec le même nombre de ministres de part et d’autre des gènes – relève de la pure démagogie. Pour la bonne raison que les femmes ne sont ni plus ni moins intelligentes, ni plus ni moins incompétentes que les hommes, loin s’en faut.

C’est bien souvent la loi naturelle qui désavantage les dames en leur qualité de mère. Dans une société qui a toujours été normée par l’homme, la femme a cantonné ses pouvoirs dans la sphère privée. Il y a cependant belle lurette que les femmes ont une âme. Mineur, le rôle des femmes, dans notre civilisation s’entend ? Pas vraiment. Le XVIIe siècle est bien celui des femmes par excellence – nos fameuses « précieuses ridicules » - sans compter le rôle politique joué par nombre d’entre elles, à commencer par Marie de Médicis, femme d’Henri IV et mère de Louis XIII. La liste est ensuite très longue des Pompadour à Valérie Trierweiler. Donc, il est faux de dire que les femmes ont subi le machisme éhonté des hommes quand bien même n’avaient-elles accès à toutes les hautes fonctions.

C’est bien le capitalisme et avec lui l’émergence de la société de consommation qui va coller la femme au boulot, la paie de l’homme ne suffisant plus à subvenir aux besoins de consommation de la famille (le frigo, la bagnole, le lave-linge, les gosses…). C’est donc bien la société capitaliste qui va aliéner la femme, plus sûrement que la volonté masculine. Et, par voie de conséquence aboutir à cette dramatique dénatalité que tous les pays développés connaissent.(**)

C’est ainsi que l’on a vu fleurir, non sans raison d’ailleurs, les mouvements féministes et leur lot de revendications. Le travail a-t-il libéré la femme ? On est en droit d’en douter. Dans une société où ne devrait pas persister de discriminations sexuelles, la question ne devrait pas se poser.

Et pourtant. A droite comme à gauche, personne n’a trouvé la recette magique.

Enfin, dernière frénésie imbécile d’un siècle déboussolé, la féminisation du langage adoptée avec enthousiasme par la presse progressiste – c’est-à-dire toute la presse officielle : auteure, professeure, députée et autres singeries du même genre auxquelles, bizarrement, l’Académie française, n’a pas jugé utile de livre combat. L’usage se chargera toujours de rétablir la balance.

Notes

(*) L’absurde est atteint avec le ministre aux Droits des femmes, la marocaine Najat Belkacem qui veut nommer « dans chaque ministère, dans chaque administration centrale, un haut fonctionnaire chargé de veiller à la parité ».

(**) Cela touche également tous les immigrés qui ont réussi leur intégration en Europe comme aux Etats-Unis.

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